Molécules onéreuses et dispositifs médicaux implantables ou les limites de la tarification à l'activité
Gaëlle FONLUPT
Un principe : aider à la diffusion de pratiques innovantes
La loi du 18 décembre 2003 a permis le remboursement en sus des tarifs des GHS de certaines molécules onéreuses et certains dispositifs médicaux implantables sur la base d'un tarif de responsabilité. La mises en oeuvre effective de la T2A et le mécanisme de détermination des tarifs à partir des coûts par GHM tels qu'ils ressortent de l’étude nationale des coûts apporte une justification à ce mode de financement dans le sens où certains médicaments onéreux, notamment les traitements de chimiothérapie anticancéreuse, et certains d (...)